«A» pour l’UQAM en radioprotection
De nombreux scientifiques au Canada utilisent, à des fins de recherche et d’enseignement, des matières potentiellement dangereuses pour la santé et la sécurité. C’est le cas à l’UQAM, dont les chercheurs en sciences biologiques, chimie et sciences de la Terre et de l’atmosphère ont recours parfois à des substances radioactives. Des représentants de la Commission canadienne de sûreté nucléaire sont justement venus à l’UQAM en décembre dernier pour évaluer son programme de radioprotection. «Les membres de la commission se sont dits impressionnés par la qualité de notre programme», raconte avec fierté Marie Leclerc, conseillère en prévention et membre du Comité institutionnel de radioprotection…
Une photographie accompagne cet article: Dans l’ordre habituel, Catherine Mounier, professeure au Département des sciences biologiques, Alain Gingras, directeur du Service de la prévention et de la sécurité et Marie Leclerc, officière en radioprotection, sont les principaux responsables de la radioprotection à l’UQAM. Photo: François L. Delagrave.