CHERCHEUSE D’EAU DOUCE : Alison Perry s’intéresse aux impacts anthropogéniques sur les écosystèmes aquatiques
L’été dernier, dans un lac de Saint- Hippolyte, dans les Laurentides, les étudiants à la maîtrise Marilyne Robidoux et Anthony Merante ont construit de leurs propres mains un mésocosme, c’est-à-dire un lieu confiné et contrôlé où l’on peut faire varier les paramètres du milieu étudié. «Ce dispositif expérimental permet entre autres d’étudier des organismes comme les planctons ou les zooplanctons lorsqu’ils sont soumis à des variations d’environnement ou à des éléments toxiques », précise Alison Derry, qui supervisait les jeunes chercheurs…
Des photographies accompagnent cet article: Alison Derry et ses étudiants à l’oeuvre dans un lac des Laurentides et le mésocosme.