Dans les bibliothèques. Un “code de bonne conduite”.

Il y a une bonne, et une moins bonne nouvelle, en ce qui concerne les bibliothèques de l’UQAM. D’abord, la bonne nouvelle: la clientèle augmente constamment, les bibliothèques sont de plus en plus fréquentées et les services très utilisés. Bien sûr, il y a l’envers de la médaille, la situation financière est précaire, le personnel est insuffisant pour répondre à la demande croissante, les documents en attente d’être classés s’accumulent, et les collections souffrent d’anémie chronique parce que les budgets d’acquisition de livres et de périodiques stagnent…

Une photographie accompagne cet article: La bibliothèque centrale bourdonnait d’activités lorsque le Journal a rencontré Esther Trépanier, responsable du comité des usagers des bibliothèques et professeure au département d’histoire de l’art.