Droit animal : la loi manque de crocs

Avant de devenir notaire et professeure au Département des sciences juridiques, Martine Lachance a été infirmière pendant huit ans. Alors n’allez pas dire à cette passionnée du droit des animaux qu’elle ne se soucie pas des humains. «Je me suis toujours sentie interpellée par la souffrance des êtres vulnérables», dit la juriste, qui poursuit un projet de recherche sur le statut juridique des espèces animales et qui enseignera à partir de l’automne un premier cours en français au Canada sur ce domaine novateur du droit, mieux connu aux États-Unis et dans le Canada anglais…

Une photographie accompagne cet article : Martine Lachance, professeure au Département des sciences juridiques, mène des recherches visant l’amélioration de la protection juridique des animaux. Photo : Nathalie St-Pierre.