Laverdière contre Laverdière. Un procès «pour rire» qui est sérieux

La cour est ouverte! Monsieur Morin, quelle est votre profession ? – Évaluateur – Depuis combien de temps ? – Vingt-trois ans – Quelle est la nature de votre travail ? – L’évaluation foncière – La cour est satisfaite, etc, etc. C’est dans le cadre d’un cours de techniques de plaidoiries dispensé par la faculté de droit de l’UdeM que se sont déroulés des procès fictifs – Laverdière contre Laverdière en est un cas ilustralif parmi plusieurs – destinés d’une part, à l’entrainement de futurs avocats et d’autre part, à celui d’étudiants de l’UQAM finissants en évaluation foncière…

Des photographies accompagnent cet article: M. Canonne critique le témoin. De gauche à droite, Me Danielle Grenier, M. Jean Canonne, Me Jacques Bellemare et Me Michael Shean. De dos, le témoin Jules Morin. L’interrogatoire du témoin Jules Morin (Daniel Pinard, UQAM) par Madame Danielle Blondin (UdeM).