Le suicide a-t-il un sexe?
À l’adolescence, les garçons et les filles n’abordent pas le suicide de la même manière. Du moins, pas toujours. C’est la conclusion d’une recherche menée par l’équipe de Réal Labelle, professeur au Département de psychologie et également professeur associé au Département de psychiatrie de l’Université de Montréal. Trois variables cognitives sur la formation d’idées suicidaires sérieuses: le désespoir, les difficultés à résoudre des problèmes et le style attributionnel pessimiste…
Des photographies accompagnent cet article: Deux adolescents assis par terre dans un corridor d’école. Photo: Istockphoto.com.