Les réalités du centre-ville
L’UQAM a connu ces derniers mois une recrudescence de lieux souillés et de toilettes bouchées par des seringues abandonnées par des toxicomanes, principalement au pavillon Judith-Jasmin. Le phénomène n’est pas nouveau, d’expliquer le directeur du Service de la prévention et de la sécurité, M. Alain Gingras. «Cela fait des années que nous avons installé des boîtes sur les murs extérieurs de nos pavillons, rue Berri et boulevard de Maisonneuve, pour récupérer des seringues. Ce qui est nouveau, c’est que nous avons dû mettre aussi de ces boîtes dans certaines de nos toilettes du pavillon Judith-Jasmin.»…
Une photographie accompagne cet article: Boîte à seringues dans une toilette public de l’UQAM. Photo: François L. Delagrave.