TITRES D’ICI : La guerre de 1812 vue par Viger

«Une telle (re)lecture de l’histoire canadienne appelle de notre part une contre-lecture, ou, du moins, un déchiffrement attentif des discours de 2012 sur 1812… Mais nous intéressent surtout les propos que tenaient les Canadiens eux-mêmes en 1812. Pour procéder à cet examen, quoi de mieux que de retourner aux sources?», propose Bernard Andrès, professeur associé au Département d’études littéraires, dans l’ouvrage La guerre de 1812. Journal de Jacques Viger, qu’il présente et commente en collaboration avec Patricia Willemin-Andrès, docteure en sémiotique littéraire de l’Université de Paris-X…

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