Une Uqamienne à Oxford : Mobilisation étudiante
Je viens de compléter ma deuxième session à Oxford. Hillary a été un autre term extrêmement chargé, qui a passé à toute vitesse! J’ai quitté la bulle oxfordienne pour un voyage d’étude d’une dizaine de jours au Proche-Orient, question de me changer les idées un peu. Dès mon retour, je me replongerai dans les livres : dans mes lectures obligatoires pour les examens qui approchent, mais aussi dans les livres de la Middle Common Room (MCR), l’association des étudiants à la maîtrise et au doctorat de mon collège. je dois dire que, jusqu’à maintenant, la mobilisation étudiante m’apparaît beaucoup plus complexe et difficile ici, comparativement au systèmes québécois. En fait, la structure de l’Université, fragmentée institutionnellement et géographiquement entre de multiples collèges et départements, ainsi que les sessions très courtes suivies de pauses prolongées contribuent fort probablement à réduire le potentiel de mobilisation au sein de la communauté étudiante dans son ensemble…
Une photographie accompagne cet article: Léticia Villeneuve.