Bollywood aux Boiseries! : C’est par les rôles secondaires que la modernité fait son entrée dans le cinéma bollywoodien

Ce n’est pas le cinéma américain qui est le plus populaire de la planète, mais bien celui de Bollywood (l’industrie cinématographique de Bombay), avec ses cinq milliards de spectateurs annuellement en Inde, et des millions d’autres dans les pays occidentaux, l’Europe de l’Est, l’Amérique du Sud, le Moyen- Orient, l’Asie centrale et le Sud-Est asiatique, où il fait fureur. Le 13 avril dernier, le cinéma bollywoodien envahissait la salle des Boiseries, à l’UQAM, où Marie-Ève Lefebvre présentait, images à l’appui, les résultats de sa recherche de maîtrise en sciences des religions sur Les influences de l’Hindouisme dans le cinéma populaire de l’Inde du nord, de 1995 à 2005

Une photographie accompagne cet article: Devdas, un Roméo et Juliette indien où danses et chansons prédominent, constitue une bonne introduction au cinéma bollywoodien.