Étudier en terre étrangère

L’UQAM accueille environ 2 500 étudiants internationaux qui viennent acquérir un bagage de connaissances… et se frotter du même coup à la culture québécoise. À quel moment ce contact est-il suffisant pour déclencher chez eux des transformations ? «Nous en savons très peu sur le processus de changement identitaire qui survient chez les étudiants internationaux», reconnaît Catherine Amiot, professeure au Département de psychologie. La jeune chercheuse a décidé de remédier à la situation en mettant sur pied un projet de recherche avec son collègue Andrew Ryder, de l’Université Concordia. Intitulée «Identités culturelles et sentiment d’appartenance chez les étudiants internationaux…