Habillés de leur seule nudité. Les danseurs de Daniel Léveillé.

Sur une scène dépouillée, deux corps nus, immobiles, se mettent soudainement à bouger sur des musiques de Vivaldi ou de Led Zeppelin. Un geste, deux gestes, parfois trois consécutifs. Un mouvement rapide suivi d’un temps d’arrêt, ou une marche lente alternant avec une course subite. Ce rythme hachuré est celui d’Amour, acide et noix, pièce à la beauté évanescente du chorégraphe Daniel Léveillé qui, depuis sa création en 2001, a remporté un succès fulgurant…

Des photographies accompagnent cet article: Le chorégraphe Daniel Léveillé, professeur au Département de danse. Photo: Nathalie St-Pierre. La pudeur des icebergs de Daniel Léveillé. Sur la photo : Mathieu Campeau, Justin Gionet et Stéphane Gladyszewski. Photo : Marian Alonzo.