L’« histoire appliquée » au service des citoyens
Concevoir une émission pour la série télévisée Histoire à la Une, dresser l’inventaire du patrimoine industriel ou religieux d’un quartier, créer des outils d’animation à contenu historique pour un musée… les formes que revêt l’histoire dite appliquée, appelée aussi public history, sont de plus en plus variées. «Cette approche originale, apparue aux États-Unis dans les années 1970, permet aux historiens de mettre leurs compétences au service de l’éducation populaire», souligne Joanne Burgess, professeure au Département d’histoire…
Une photographie accompagne cet article: Joanne Burgess, professeure au Département d’histoire, dirige le nouveau Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Photo: Denis Bernier.