Le nationalisme peut-il fonder une éthique de solidarité?

Comment au Québec célébrer l’ouverture aux autres, reconnaître le pluralisme des identités, sans renier le sentiment d’appartenance et la dimension communautaire que l’Histoire a légués aux Franco-Québécois? Cette question difficile se trouve au cœur de L’Histoire en trop, ouvrage paru récemment chez VLB sous la plume de Jacques Beauchemin, professeur au Département de sociologie…

Une photographie accompagne cet article: M. Jacques Beauchemin, professeur au Département de sociologie. Photo : Andrew Dobrowolskyj.