SPÉCIAL RECHERCHE : Les allergiques n’ont pas fini d’éternuer
La professeure Michelle Garneau du Département de géographie analyse depuis plus de 15 ans les sédiments des tourbières à la recherche de grains de pollen fossilisé. « Au cours de la période holocène, il y a 10 000 ans, les contenus polliniques des sédiments ont varié, selon les conditions climatiques, au moment de la libération des grains de pollen. On peut ainsi reconstituer des cycles. Plus le climat se réchauffait, plus la concentration du pollen fossilisé augmentait»…
Une photographie accompagne cet article: Michelle Garneau.