Suzor-Coté sort de l’ombre
À l’image de «chantre du terroir» vieillot et passéiste, accolée à Suzor-Coté, le professeur et historien d’art, Laurier Lacroix, propose une vision plus riche et complexe du peintre sculpteur d’Arthabaska. Dans le cadre d’une exposition en cours au Musée du Québec, il nous fait découvrir un artiste doué et polyvalent dont les innovations en feraient plutôt un précurseur de la modernité au Québec…
Des photographies accompagnent cet article: Laurier Lacroix, professeur au Département d’histoire de l’art. Photo : Andrew Dobrowolskyj. Symphonie pathétique, 1925